Gorian Delpature, chroniqueur littéraire à l’origine de la série de podcast « Stephen King, le roi de l’horreur » actuellement diffusée à la radio en Belgique (et disponible gratuitement en ligne), proposera un essai sur Stephen King.
Celui-ci sera disponible le 1er octobre aux éditions Lamiroy.
Gorian Delpature, le chroniqueur littéraire qui est à l’origine de la série de podcast « Stephen King, le roi de l’horreur », diffusée cet été sur la radio belge RTBF, mais aussi disponible gratuitement et dès à présent en ligne, publiera en octobre un essai sur Stephen King.
Intitulé « Stephen King, le plus grand écrivain du monde? », cet essai qui devrait faire une trentaine de pages, sera publié le 1er octobre par les éditions Lamiroy.
Ce livret est proposé en deux formats :
– livre : 5€ frais de port inclus (mais 4€ si vous utilisez le code promo : KING)
– ebook : seulement 2€
> Si vous voulez le commander, c’est par ici
>>>> (Les éditions Lamiroy ont également sorti un essai que j’ai écrit au sujet de Bernard Werber!) <<<<
La présentation de l’éditeur :
Asseyez-vous donc près de moi. Venez, la place est encore chaude. Le précédent lecteur vient de partir et il avait l’air satisfait du voyage. En tout cas, il ne s’est pas plaint. Il était peut-être un peu pâle, c’est vrai.
Était-ce dû aux deux petites piqûres rouges dans son cou ou aux voix d’enfants qui semblaient sortir des égouts ?À
cette brochure d’un hôtel du Colorado qui dépassait de sa poche et qu’il manipulait nerveusement ?
Ou à la vielle voiture rouge qui est passée devant nous en faisant résonner une chanson de rock des années 50 et qui l’a fait sursauter ?
Peut-être… Mais revenons à la question que je vous ai posée quand vous êtes passé devant moi. Celle qui vous a fait tourner la tête vers moi.
« Stephen King est-il le plus grand écrivain du monde ? »
La question pourra paraître choquante dans les sphères des critiques sérieux qui attribuent les plus prestigieux prix littéraires. La réponse pourra paraître évidente parmi les fans qui collectionnent les premières éditions des romans (et pas les éditions « Book Club » !) de l’auteur du Maine. Mais le point d’interrogation devrait titiller tous les autres.
Ou plutôt, pour utiliser une image digne de Stephen Edwin King lui-même, il devrait enfoncer sa pointe aiguisée dans une zone particulièrement sensible de notre anatomie et y tourner encore et encore jusqu’à ce que des flots de sang en sortent comme un geyser et… Non, n’allons pas si loin…
Mais abordons cette question avec l’objectivité qu’elle mérite. Une objectivité toute relative quand on parle d’art en général. Et de littérature en particulier.
Mon histoire commence dans le Maine en 1947. Le marin Donald King et son épouse Nellie Ruth Pillsbury sont mariés depuis huit ans. Ils ne sont pas parvenus à concevoir un enfant et ont donc adopté un petit garçon : David. Mais cette année-là, ce qu’ils n’osaient plus espérer s’est produit. Nellie donne naissance à Stephen. Il pousse son premier cri à Bangor le 21 septembre 1947. Oui, je prononce « Stiveun ». Je sais. Ça vous dérange ? Tant pis. C’est comme ça qu’on prononce.
Cet essai sera le premier volume d’une série littéraire mensuelle, intitulée « L’article » dont ont été annoncés :
1) Stephen King, par Gorian Delpâture (octobre 2020)
2) Jacques De Decker, par Véronique Bergen (novembre 2020)
3) Victor Hugo, par Marc Meganck (décembre 2020)
> Pour tout savoir, sur le site de l’éditeur