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Neil Gaiman en France : Neil Gaiman et Stephen King

Visite de Neil Gaiman en France : Neil Gaiman vu par Stephen King

[Neil Gaiman] photo de stephen king 
 

Neil Gaiman : un nom que vous connaissez sans doute. Un auteur britannique qui a débuté sa carrière en écrivant une biographie de Duran Duran (il faut bien payer ses factures…), puis qui s’est principalement fait connaitre avec des BDs (dont SANDMAN), avant de devenir un auteur de romans.

Neil Gaiman écrit deux types d’histoires :

– des romans pour « adultes », par exemple GOOD OMEN (avec Terry Pratchett), AMERICAN GODS et sa suite ANANSI BOYS. Ou encore THE OCEAN AT THE END OF THE LANE (L’OCEAN AU BOUT DU CHEMIN).
– des romans pour « enfants », ou pour que les adultes lisent avec les enfants (exemple : FORTUNATELY, THE MILK — inédit en France —, ou encore CORALINE, devenu un film d’animation).

Mais saviez-vous que Neil Gaiman et Stephen King sont devenus, au fil des années, de grands amis?

Cette amitié a commencé au début de la carrière de Neil Gaiman. Celui-ci connait un fort succès à travers la BD « SANDMAN » (publiée par DC Comics), et en 1993, le tome 8 nommé « World’s End » contient une introduction de Stephen King. 

“Neil Gaiman is a pretty awesome head himself, but those of you who have been following the series through its many odd – very odd, extremely odd, ultimately odd – twists and turns hardly need me to tell you that. […] I’m a fan of story. In fact, it might not be going too far to say that story is my life; certainly those lovely figures that dance in the smoke have saved my life from time to time, Neil Gaiman also knows story. He is, simply put, a treasure house of story, and we are lucky to have him in any medium. His fecundity, coupled with the overall quality of his work, is both wonderful and a little intimidating. So is his workmanship.
 

Look : World’s End was originally published in six issues of what me and my be-bop buddies used to call comic books. Yet these six books are actually installments in a longer, unified tale, which is here being published as it was meant to be read, in six chapters that makes a whole. That makes them like six eggs in a single basket, right? Yet there are eggs inside eggs here, because World’s End is a Chaucerian tale in which travelers – this time stranded at an inn rather than clopping down the road to Canterbury – take turns passing a stormy night by telling tales. It is a classic format, but in several of them there are stories within the stories, like eggs within eggs, or more properly, nested Chinese box-es. […] So these are smart stories, and cunningly crafted stories. Fortunately for us, they are also good stories, little wonders of economy and surprise. They never get lost in the technicalities, they are never what English villagers would deprecatingly label as “too clever” by ‘alf’.
 

Probably the most satisfying thing about Gaiman’s work – the thing that keeps me coming back – is that he has found his way around the standard “snapper ending” without sacrificing the sense of won-der and amazement that make fantasy so satisfying and essential. He gets those things into the hearts of the stories rather than into their conclusions, that’s all; there’s no feeling here of reading elaborate horror-jokes with splatters of gore for the punchlines. […] In fact, these stories work as well as any I have read, in any medium, over the last half a dozen years of my life. Better than most. I think I know why, too. In most word-only short fiction, both mainstream and genre, there is sometimes a sense of self-awareness and a feeling that the work is meaningful… but there is hardly ever any sense of humor. In words-and-pictures fiction – comic books, in other words- there’s usually a lot of humor… but no sense of self-awareness, no feeling that the work needs to be taken seriously on its own terms… that it has merit as art. The stories presented in World’s End run on both power sources at the same time, and the result is working with the clarity of fairy tles and the subversive undertone of a top-drawer modern fiction. […] Thse are great stories, and we’re all lucky to have them. To read Now, and maybe again Then, later on, when we need what only a good story has the power to do : to take us away to worlds that never existed, in the company of people we wish we were… or thank God we aren’t.”
 

Extrait de : An introduction, dans : Sandman – The World’s End (DC Comics, 1993).

 

[Sandman Worlds End] [americangods] [neilgaiman americangods audiablevauvert]

Neil Gaiman connaitra par la suite un second essor de sa carrière à partir de 2001 avec la publication du roman AMERICAN GODS.
Un roman best-seller, prévu depuis sa sortie en série (le projet semble avancer et Neil Gaiman écrit lui-même un scénario pour une chaine qui a acheté le projet) sur lequel est une partie de l’introduction de Sandman – World’s End, est reprise en blurb… également présent dans la version française : « Il est, tout simplement, un pur trésor d’histoires et c’est une chance pour nous de l’avoir, de livre en livre. »

En 2012, Neil Gaiman a réalisé un article/interview de Stephen King publiée dans le « Sunday Times Magazine ». Vous pouvez lire le texte sur le blog de Neil Gaiman. 

[stephenking neilgaiman interview 2012]

Toujours en 2012, Neil Gaiman a réalisé un discours inspirationnel pour la cérémonie de remise des diplômes à l’Université des Arts (University of Arts), de Philadelphie… discours dans lequel il déclare l’importance du commentaire de Stephen King


Transcription du discours sur le site de l’université

Ce discours très inspirant a été partiellement reprit en livre, sous le nom « MAKE GOOD ART ».
Livre qui contient notamment un blurb de Stephen King dans une des dernières pages : « This is really great. You should enjoy it.” 

[neilgaiman makegoodart]

Saviez-vous que Stephen King a lui aussi réalisé des discours à des universités? A la fois un discours de début d’année (à Vassar, en 2001 : voir la vidéo de l’événement et sa transcription) et un discours pour une cérémonie de remise de diplôme (Université du Maine, en 2005).

Transcription de ce discours.

Enfin, rappelons la raison de cet article : 

Neil Gaiman de passage en France, en réalisant une séance de dédicace unique CE VENDREDI 24 octobre 2014.

Ce passage exclusif en France est pour accompagner la sortie française du livre L’OCEAN AU BOUT DU CHEMIN (THE OCEAN AT THE END OF THE LANE), disponible dès demain…
… ainsi qu’avec un chapbook gratuit intitulé POURQUOI NOTRE FUTUR DEPEND DES BIBLIOTHEQUES, DE LA LECTURE, ET DE L’IMAGINATION.

[ocean au bout du chemin neil gaiman] [pourquoi notre futur depend des bibliotheques neilgaiman audiablevauvert]

 

 

L’OCEAN AU BOUT DU CHEMIN (The ocean at the end of the lane)
Auteur : Neil Gaiman
Editions : Au Diable Vauvert
Pages : 320
Acheter sur amazon

POURQUOI NOTRE FUTUR DEPEND DES BIBLIOTHEQUES, DE LA LECTURE ET DE L’IMAGINATION
Auteur : Neil Gaiman
Editions : Au Diable Vauvert
Chapbook gratuit, disponible en librairie à partir du 23 octobre. 
>>> Traduction d’un discours de Neil Gaiman et essai publié sur le site du Guardian

>>> Suivez l’événement Facebook de la dédicace pour être sûr de ne rien rater !

[neilgaiman en france]

Enfin, le Club Stephen King sera présent à la conférence de presse parisienne prévue lundi 27 octobre avec Neil Gaiman!

 

 





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