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Essais

Stephen King évoque la ‘peur désespérée’ ressentie devant le film « La nuit des morts vivants »

Dans un nouvel essai publié sur le site de Variety, Stephen King évoque « la terreur sans espoir » du film « La nuit des morts vivants » de George Romero.

 

La Nuit Des Morts Vivants Stephenking Essai

 

Ce qui suit est notre traduction d’un essai publié sur le site de Variety, écrit par Stephen King sur son film d’horreur préféré, dans une série d’articles du site concernant les 100 meilleurs films d’horreur de tous les temps :

 

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J’ai profondément réfléchi à cette question, probablement plus profondément que le sujet (le film d’horreur qui fait le plus peur) ne mérite… mais bon, j’ai vu beaucoup de films d’horreur, donc peut-être que c’est une question valide.

Ma conclusion est que le « plus effrayant » dépend de l’âge de celui qui regarde le film. En tant qu’enfant âgé de 16 ans, mon film le plus effrayant était « La maison du Diable » (The Haunting, de Robert Wise, 1963). En tant qu’adulte, c’était « Le Projet Blair Witch », avec ce sentiment croissant d’être condamné et ses vraiment horribles dernières 35 secondes. Mais dans l’ensemble, je devrai répondre « La nuit des morts vivants » (Night of the Living Dead), le chef d’oeuvre à petit budget de George A. Romero.

Je n’oublierai jamais le chieur de grand frère faisant sa mauvaise imitation de Boris Karloff « Ils viennent pour te prendre, Barbara… il y en a un là! » 
Il montre le vieil alcoolo qui chancèle à travers les pierres tombales, mais le vieil alcoolo s’avère être un corps réanimé, et quand Barbara s’enferme dans sa voiture, elle se rend compte que son chieur de frère, Johnny, a pris les clés.
Pendant ce temps, le vieil homme essaie de l’attraper et le spectateur comprend qu’il ne va pas s’arrête. C’est un moment de pure terreur. Barbara met la voiture au point mort (probablement impossible sans les clés, mais c’est un film) et la fait descendre la colline, s’échappant… temporairement. 

A la fin, personne ne survit. Le film a perdu de sa puissance élémentaire au fil des années (il est presque devenu une blague comme le « Rocky Horror »), mais je me rappelle de la peur désespérée ressentie la première fois que je l’ai vu. Et maintenant que j’y repense, il y a une vraie similarité avec « Le projet Blair Witch », à la fois avec l’aspect minimaliste et le manque de musique, les deux films avec des acteurs inconnus qui semblent à peine capable de gérer les stocks de magasins, et chaque film avec des effets bons marchés. Et ça fonctionne non pas à cause de ces choses, mais grâce à elles.

 

 

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