Essai : John D (McDonald) et Stephen King
Le site du HeraldTribune vient de diffuser un nouvel essai de Stephen King sur l’importance de l’auteur John D. MacDonald pour lui.
Il y a raconte que c’est à l’âge de 12 ans qu’il a lu son premier livre signé McDonald, « Murder in the wind », et que ce roman l’a marqué comme un jet d’eau envoyé sur un dormeur. C’est à travers ses romans que Stephen King a découvert le concept de sociopathe, avec des montres comme Ted Bundy avant même qu’ils ne fassent la une des journaux.
Déclarant que John McDonald était un formidable conteur, qui donnait un vértibable rythme à ses romans qu’il écrivait pour des gens normaux qui lisaient pour le plaisir.
Stephen King narre alors l’anecdote qui l’a conduit à lui écrire en 1977 pour lui demander si il accepterait d’écrire une introduction pour son recueil de nouvelles DANSE MACABRE (ce qu’il fera mais seulement après avoir lu les histoires pour juger de leur qualité).
Enfin, au-delà de l’impact littéraire et stylistique que John McDonald a eut sur l’écriture de Stephen King, il annonce qu’il lui doit aussi un grand cadeau : sa petite fille, car un jour à l’université, son plus jeune fils remarqua une fille qui lisait un de ses romans. Il l’a alors abordé, et suivirent de nombreuses discussions autour des livres de John D MacDonald, au point que, des années plus tard, ils s’échangèrent des livres de l’auteur lors de l’échange de voeux.
>>> Lire l’essai « John D and me : Stephen King » sur le site du HeraldTribune