THE BAZAAR OF BAD DREAMS de Stephen King : la couverture alternative pour WHSMITH
De gauche à droite : les couvertures britanniques de Hodder & Stoughton, puis de WHSmith
Depuis quelques années, le libraire WHSmith propose des versions alternatives des romans de Stephen King avec une couverture spécifique : toujours plus violette.
THE BAZAAR OF BAD DREAMS, le recueil de nouvelles de Stephen King qui sortira le 3 novembre, ne fera pas exception.
Ainsi, dans les couvertures ci-dessus, vous trouverez : l’édition britannique Hodder & Stoughton, et l’édition britannique de WHSmith.
En attendant la sortie de recueil, redécouvrez ci-après la présentation de l’éditeur américain Scribner ;
« Scribner est enthousiaste à l’annonce de la publicitation, en novembre, de THE BAZAAR OF BAD DREAMS, un nouveau recueil de nouvelles de Stephen King.
La majorité de ces nouvelles sont inédites, une n’ayant été publiée qu’à l’étranger (« Sale Gosse »), et d’autres avaient été publiées au préalable dans des formats inhabituels et non conventionnels (« UR » fut initialement publiée seulement en ebook, et « Drunken Fireworks » fut diffuséee cet été en livre audio). Ce qu’ont en commun chacunes d’elles est leur excellente, et leur pouvoir de transporter, d’émouvoir et parfois de vous terrifier : après tout, ce sont des nouvelles de Stephen King.
Dans THE BAZAAR OF BAD DREAMS, King démonre encore une fois son extraordinaire capacité d’adaptation. Dans ces histoires, des personnages font face à des douleurs chroniques, la pandémie du sida, des problèmes financiers, l’addiction, la vieillesse, les questions morales, la mortalité, la vie après la mort… et l’occasionnelle aire d’autoroute hantée. On y trouve une histoire posée et puissante inspirée par Raymond Carver et également une histoire au sujet d’un Kindle qui donne accès à des mondes parallèles (10 438 721 mondes pour être précis). Une histoire au sujet d’un sale gosse qui subit ce qu’il mérite, une histoire qui imagine le choix difficile qu’une personne doit faire apès sa mort, et une que King appelle « le sujet préféré de tous les temps, la fin de l’humanité ».
King a écrit une nouvelle introduction pour chacune des histoires, et celles-ci (révélatrices et personnelles) sont tout autant un cadeau que les histoires elles-mêmes. Nous apprenons un petit peu sur les flashs d’inspirations qui ont inciter King à écrire ces histoires (une femme qu’il a aperçu dans un bus à Paris, et deux hommes, un moyennement âgé et un plus vieux, mangeant ensemble chez Applebee, le plus jeune coupant le steak de l’autre plus âgé. Certaines ont été inspirées par des faits réels (King a écrit la nouvelle « Herman Wouk is still alive » après avoir lu qu’une femme a pris une route en sens inverse et a fini par se tuer avec sept autres personnes, dont quatre enfants).
Les histoires dans THE BAZAAR OF BAD DREAMS sont obsédantes et inoubliables, un cadeau aux Fidèles Lecteurs de Stephen King. »
Précommander : THE BAZAAR OF BAD DREAMS, par Stephen King