THE DUNE :
Granta magazine (automne 2011)
Titre original : Granta (magazine, automne 2011)
Editeur : Granta
ISBN : 978-1-90588-136-9
255 pages
Prix de vente : £12.99
DESCRIPTION DE L’EDITEUR :
Horror is everywhere – in cinema, in fiction, in real life. In this issue Paul Auster writes about the death of his mother, Will Self on his own rare blood-disease, and Mark Doty on desire, addiction and literature. We have fiction from Stephen King, Sarah Hall and Joy Williams, reportage from Peru and Sudan, and a themed costume fightclub in Los Angeles. As Arthur Conan Doyle wrote, ‘where there is no imagination there is no horror’.
SOMMAIRE :
FALSE BLOOD, par Will Self
YOUR BIRTHDAY HAS COME AND GONE, par Paul Auster
POEM, par D.A. Powell
BRASS, par Joy Williams
THE STARVELLING, par Don DeLillo
THE MISSION, par Tom Bamforth
SHE MURDERED MORTAL HE, par Sarah Hall
A GARDEN OF ILLUMINATING EXISTENCE, par Kanitta Meechubot
DENG’S DOGS, par Santiago Roncagliolo
THE INFAMOUS BENGAL MING, par Rajesh Parameswaran
THE GROUND FLOOR, par Daniel Alarcon
INSATIABLE, par Mark Doty
THE COLONEL’S SON, par Roberto Bolano
THE DUNE, par Stephen King
DIEM PERDIDI, par Julie Otsuka
THE DUNE : commentaire par herbertwest, 2011
THE DUNE, une nouvelle inédite de Stephen King, faisant 13 pages et disponible un brin avant Halloween.
Sans rien lire au sujet de cette nouvelle avant sa publication, le titre me rappelait une nouvelle que Stephen King avait auparavant écrit, intitulée SABLES (Beachworld), et se trouvant dans le recueil BRUME.
De ce fait, psychologiquement je m’attendais à une histoire de SF, bien qu’il aurait été bizarre que Stephen King réécrive une nouvelle similaire.
THE DUNE est au sujet d’un juge de 90 ans, à la retraite, qui décide de confesser à un jeune avocat un secret : lors de son enfance, en 1932, il avait découvert un semblant d’ile en se balladant en canoe en Floride.
Sur le sable de cette « ile », est écrit un nom, qui correspond à une personne qui va décéder. Chaque fois qu’il fait traverse la mer pour se rendre sur ce bout d’ile, le nom de la personne change, et la personne va mourir sous peu…
A travers cette courte nouvelle, Stephen King utilise une de ses forces : la suggestion et la psychologie. Ainsi, la peur que l’on retrouve dans THE DUNE, n’est aucunement dûe à un quelconque monstre, mais on la perçoit néanmoins via le corps fragile du juge âgé de 90 ans. Le summum se trouvant être la toute fin de la nouvelle qui s’avère être une véritable perle.
THE DUNE est donc une nouvelle forte agréable qui se lit et qui se vit, car, dans mon cas, je me suis retrouvé impatient de trouver une réponse à la raison d’être de cette île, le pourquoi du comment… mais Stephen King ne s’attarde pas sur ceci, mais sur ce qu’elle est.
NB : En lisant la nouvelle, un élément de la fin m’avait d’abord fait penser à LOST, dont Stephen King est un fan avéré… mais après vérification, THE DUNE n’est nullement liée à la série.