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Ce que les autres auteurs pensent de Stephen King

Ce que les autres auteurs pensent de Stephen King

Que pensent les autres auteurs de Stephen King?

MAXIME CHATTAM : “Un écrivain qui transforme son lecteur”
MARIN LEDUN : “Il m’a rendu insomniaque”
GUILLAUME MUSSO : “King, un mot de passe pour ma génération”
FRANK THILLIEZ : “une capacité à toucher le lecteur au coeur de son intimité”
BERNARD WERBER : “Il a transformé ma façon d’écrire”
CECILE COULON : “Plein de parents ne seraient pas d’accord, mais lire Stephen King offre une belle entrée en littérature”

Le livre des livres de Stephen King : des auteurs commentent chacun des livres de Stephen King

 [StephenKing autres auteurs albinmichel]

 


 

 

 

Maxime Chattam : “Un écrivain qui transforme son lecteur”

 [stephenking maximechattam]

  • Au sujet du roman CA

“N’en garder qu’un est presque impossible tant chaque œuvre de King est une pièce d’art qu’on voudrait chérir précieusement et indéfiniment. Ne garder qu’un seul roman du maître, c’est comme de choisir entre se crever l’œil droit ou l’œil gauche. Pourtant, le couteau sous la gorge, s’il ne fallait vraiment n’en garder qu’un, sorte d’highlander littéraire, alors ce serait “Ça”.

Parce qu’il parvient à jouer avec nos peurs enfantines, universelles ; parce qu’il parle de nos adolescences à tous, et de ce que c’est que de grandir, de vieillir. Il parle de nos vies avec ce qui nous terrorise le plus, cet ennemi implacable, le plus redoutable des “grands vilains” : le temps qui passe et ses ravages sur chacun, cette confrontation inéluctable avec nous même. “Ça” est une fable moderne, et au-delà du récit fantastique qui fait peur, c’est une longue réflexion sur la vie, un de ces rares romans épais dont on ne sort pas comme on y était entré, une œuvre qui transforme son lecteur, c’est là l’art du maître King, qui fait fabrique avec nos peurs des miroirs capables de nous renvoyer à ce que nous sommes tous, sans masque ni fard.

Et pour finir sur une note très personnelle, j’ajouterai qu’avoir pris un clown pour caractériser la quintessence de la peur, c’était une idée de génie, car comme le dit si bien un bon ami : “il y a deux catégories de gens sur terre : ceux qui ont peur des clowns, et, les clowns.” A bon entendeur…  ”             
 

 

  • Au sujet de Stephen King, dans l’émission ENTREE LIBRE (France 5), du 1er novembre 2013 :

“Je devais avoir 12-13 ans, c’était SALEM, et je me souviens de ce livre là parce que c’était une histoire à la fois de vampires qui ne sentait pas la vieille histoire à la Dracula. Et j’ai le souvenir d’avoir lu le soir avec une lampe torche parce que c’était plus sympas qu’avec la lumière du plafonnier allumée. C’était mes premiers moments de terreur avec la littérature.

J’ai retenu de King avant tout, le coeur de mon histoire ça doit être le personnage. Si je raconte une histoire qu’elle soit hyper documentée, hyper noire, même fantastique, ce qu’il faut c’est que le personnage, lui, soit hyper crédible. Si on croit au personnage, si on s’attache au personnage, tout ce qui va lui arriver derrière, on y croit.

Peut être que personne à un moment, un bon éditeur, ne lui a encore dit : Stephen, dans ce formidable pavé de 850 pages se cache un chef d’oeuvre de 400 pages.”

 

“Lorsque j’ai lu King pour la première fois, j’ai découvert une écriture : la crédibilité de ses personnages, le sens du quotidien qui implique forcément le lecteur, par projection, reconnaissance… face à la rupture brutale de ton lorsqu’il introduit la violence dans son récit. Il parvient ainsi à construire un état de choc chez son lecteur. Nous sommes plongés dans la routine d’individus attachants, et brusquement, un élément sauvage fait voler ce portrait en éclat. C’est aussi immédiat et stupéfiant pour le personnage que ça l’est pour le lecteur ! Je venais de Lovecraft, je pensais que la terreur se fabrique avec les descriptions, et King m’a prouvé qu’elle pouvait aussi se faire à travers l’émotion d’un personnage. Et forcément, l’auteur que je suis devenu par la suite s’en est nourri, inspiré… J’adore ce principe. Si je parviens à immerger mon lecteur dans une scene qui lui parle, avec des pensées proches des siennes, alors faire jaillir la violence au détour d’une phrase, sans qu’il l’ait venue venir, va le saisir. L’effroit nait ainsi, de ce que l’on ressent, d’attachement avec les personnages, parce qu’on se reconnait en eux, et de cette rupture de ton inattendue.”

Le Top 3 des livres de Stephen King, par Maxime Chattam :
1 – CA
2 – Les Yeux du Dragon
3 – Talisman (co-écrit avec Peter Straub)

 

  • Au sujet de BRUME (dans le magazine “Femme actuelle”, octobre 2022)

Dans une liste de recommandations de lecture pour Halloween 2022, Maxime Chattam écrit : 
“Enfin, il est impossible de ne pas terminer avec le maitre du genre, Stephen King! Je choisirais Brume. Un point de départ très concernant, dans lequel on se projette tous : un supermarché avec sa galerie de personnages. Et puis cette brume qui arrive et… la terreur qui en jaillit. Un chef d’oeuvre d’efficacité puisque tout y est, jusqu’à la fin, en un tout petit format (moins de 200 pages). Une référence.”

 

 

MARIN LEDUN :”Il m’a rendu insomniaque”

Au sujet de INSOMNIE 

“C’était hier. Dix-sept ans plus tôt pour être précis. Je refermais INSOMNIE après l’avoir lu d’une traite et me demandais comment Stephen King avait réussi à me tenir en haleine sur plus de 700 pages avec l’histoire de Ralph Roberts, un septuagénaire veuf et insomniaque en proie à des hallucinations. Dans : ECRITURE – MEMOIRES D’UN METIER, King admet qu’à cette époque il était souvent ivre. Je cherchais à identifier ce qui, au delà des ressorts du suspense, donnait cette force au texte. Les années passèrent, et face au mur, je compris. La puissance d’un INSOMNIE ou d’un SHINING ne résidait pas dans l’épouvante qu’ils suscitaient, mais dans la lente descente que King nous imposait dans l’histoire, puis le corps lui-même de ses personnages, avec nonchalance ou par de brutales accélérations.
Ce jour-là, je devins insomniaque et commençai moi aussi à faire de drôles de rêves éveillés. Alors pour occuper mes nuits blanches…”
 

 

Guillaume Musso : “KING, un mot de passe pour ma génération”

Au sujet de DEAD ZONE 

“Je me suis aperçu, en discutant avec des auteurs comme Maxime Chattam, Franck Thilliez ou Bernard Werber, que l’oeuvre de Stephen King était notre point de ralliement, presque un « mot de passe » pour notre génération. Ma mère étant bibliothécaire, j’ai débuté par la littérature classique, avant de découvrir le fantastique par l’intermédiaire de “Dead Zone “. L’histoire de Johnny, un homme qui après être sorti du coma, découvre qu’il possède un don de voyance. J’aime ce genre de anti-héros, à la fois fragile et attachant. Et puis c’est un roman court, que je recommande toujours à ceux qui veulent découvrir King. De façon générale j’apprécie beaucoup ses recueils de nouvelles. Son influence ? Le côté surnaturel ancré dans la réalité de certains de mes livres, je lui dois sans doute beaucoup. J’ai même donné le nom de l’un de ses romans, « Jessie » à l’un des personnages de “Je reviens te chercher”. Je citerais également « Ecritures », l’ouvrage dans lequel il donne ses trucs d’écriture. C’est passionnant. Il a une véritable légitimité car au-delà de la passion qu’on lui porte, c’est quelqu’un qui est resté curieux, notamment de la nouvelle génération.”      
 

 

Franck Thilliez : “une capacité à toucher le lecteur au coeur de son intimité”

Au sujet de MISERY

“J’ai lu Misery deux fois. La première, je devais avoir 14 ou 15 ans, c’était ma période Stephen King pour les romans, et David Cronenberg ou Dario Argento pour le cinéma. La seconde, j’en avais 35. Ce huis-clos glacial avait laissé une empreinte extrêmement précise dans ma tête, une succession de scènes que je voyais encore, vingt ans après. La neige, l’accident, la carrure monstrueuse d’Anne Wilkes (mains sur les hanches), Paul Sheldon qui rampe au sol, les jambes brisées, la hache qui fend l’air…

Je voulais savoir si, à travers mon regard d’adulte et même de romancier, la magie du livre opèrerait à nouveau. Je dois dire que le plaisir a été intact. Les scènes, les odeurs, les cris (et même la marque des médicaments, dont le fameux Novril) étaient telles que ma mémoire les avaient gardés, ils n’avaient pas bougé d’un iota. Misery – et la plupart des romans de King – ont ce pouvoir figer l’horreur et l’angoisse au fin fond de vos neurones, et pour longtemps. C’est cette capacité à toucher le lecteur au cœur de son intimité, de ses peurs d’enfants, n’importe où et n’importe quand, qui m’a donné l’envie d’écrire.

Transmettre des sentiments et de l’imaginaire par le récit… Procurer le plaisir de l’angoisse chez le lecteur… Voilà les moteurs qui font avancer ma plume, chaque jour. Et quand arrive un nouveau roman de Stephen King, je la pose, cette plume, pour partager un moment privilégié avec cet auteur d’exception. Alors, seulement, je me rappelle mes 15 ans… “
 

Au sujet de Stephen King , l’écrivain de référence de Frank Thilliez (dans une interview avec Les Echos):

“Je l’ai découvert quand j’étais ado, après avoir dévoré les classiques : Conan Doyle, Gaston Leroux, Maurice Leblanc et Agatha Christie. Ce fut la révélation de ma vie. Vingt ans après, je garde des images très précises de certaines de ses scènes, c’est la marque d’un très grand écrivain de s’imprimer ainsi dans la mémoire du lecteur.”

 

Bernard Werber : “Il a transformé ma façon d’écrire”

 

– Au sujet de DIFFERENTES SAISONS :

“Je l’ai découvert avec “Différentes saisons”, le recueil de nouvelles qui comprend “Rita Hayworth et la rédemption de Shawshank” et “Un élève doué”, qui on été adaptés plus tard au cinéma. Je venais de faire lire mon manuscrit des “Fourmis” à quelqu’un qui m’a conseillé cette lecture… Et ça complètement transformé mon écriture. Une révélation ! Autant Philip K. Dick m’a influencé pour l’originalité des histoires, autant King m’a appris à soigner la mise en scène. Il crée une petite musique qui n’appartient qu’à lui et maîtrise un art du roman qu’on évoque rarement. Il m’a appris à tenir le lecteur en haleine et à le surprendre. Pour moi, c’est un écrivain classique au même titre que Victor Hugo. Par la suite, j’ai lu tous les King, avec des déceptions et des ravissements. Sa seule faiblesse, à mon avis, c’est sa tendance à la surenchère. Je pense qu’elle vient du fait qu’il part d’un plan assez simple, dont il dévie en cours de route, au risque de se perdre. Mais quand c’est réussi, il touche à la grâce.”

Dans le magazine LIRE HORS SERIE sur Stephen King, d’octobre 2019

“J’ai découvert Stephen King avec ‘Différentes Saisons’. Pour moi, son grand truc, c’est de savoir évoquer nos peurs d’enfance et nous faire aimer tous ses personnages, y compris les ‘méchants’. Dans ‘Misery’, il explique pour l’infirmiere est ainsi, et à la fin – contrairement à celle du film – , il nous montre ses cotés positifs. Stephen King arrive à passer des notions d’humanisme en montrant ce qu’il y a de pire chez l’homme. On sent qu’il aime vraiment les gens et qu’il n’est pas dans le jugement, mais dans la compréhension. C’est un auteur généreux. J’apprécie aussi la diversité de ses thèmes : il est à l’aise aussi bien dans le fantastique que dans la terreur, le drame psychologique, le polar, le thiller,  ou la SF. Seul petit bémol : ses histoires d’amour, car on a l’impression qu’elles tournent toujours mal et qu’elles ne sont là que pour servir le fantastique. Sinon, King est selon moi un maitre et un professeur en horlogerie de suspense. Quand il réussit à faire prendre la sauce comme dans ‘La Ligne Verte’, il est inégalable. Et inégalé.”

Le Top 3 des livres de Stephen King, par Bernard Werber: 
1 -Différentes Saisons
2 – Misery
3 – La Peau sur les Os

 


CECILE COULON  : 

 

Extraits d’une interview de Madame Figaro :

– Et, très vite, vous avez plongé dans Stephen King…

– Juste avant l’adolescence, ça a été la révélation. Il y avait cette collection en poche des romans de Stephen King, que j’ai dévorée, lue et relue. J’avais particulièrement adoré Salem ou Sac d’os, sur l’histoire d’un homme qui renverse en voiture un enfant et qui subit un sort qui le fait maigrir, encore et encore. C’est la première fois de ma vie où je me suis dit que j’avais envie de faire ça, que ça devait être trop bien, d’écrire des livres. Plein de parents ne seraient pas d’accord avec ce que je dis, mais je trouve que l’œuvre de Stephen King offre une belle entrée en littérature.

 

 



Frank Thilliez  : 

Dans une critique publiée sur le site LeMonde.fr, Franck Thilliez a jugé que « L’outsider » de Stephen King est un drame abject qui a de quoi rendre fou


 

Hafid Aggoune : 

 

Au sujet de Stephen King, dans l’émission ENTREE LIBRE (France 5), du 1er novembre 2013 :

“La première fois que j’ai lu Stephen King, c’était au lycée “ÇA“, avec l’histoire du clown. C’est mon premier souvenir d’avoir eut autant peur et d’être comme ça fasciné par un livre.

C’est le genre d’auteur qu’on étudiait jamais. Dont on ne parlait jamais et qui n’était meme pas évoqué. Donc je pense que c’est une chance que j’ai pu le rencontrer très tôt pour enlever les préjugés justement.

Beaucoup de personnes connaissent SHINING par le film, et moi j’avais lu le livre, et je garde vraiment en tête cette scène là de l’enfant avec son tricycle et ces couloirs interminables. Ca, c’est une scène des plus éprouvantes en temps que lecteur, puisque ça fait appel à des sentiments d’oppression, ça rappelle certaines peurs personnelles sur le vide, sur l’absence.

Si il y avait une faiblesse chez lui, ce serait son lectorat en fait. La suite de SHINING qui va être publiée, quand on sait que cela a été choisi un peu par les lecteurs, je me dis quelque part il faut rester maitre de ce qu’on a envie d’écrire.”

 

Hélène Frappat :

 

Au sujet de Stephen King, dans l’émission ENTREE LIBRE (France 5), du 1er novembre 2013 :

 

“La première fois que j’ai lu Stephen King, je l’ai découvert très récemment en fait. C’était en 2008, c’était SAC D’OS, pendant les vacances, et j’ai été bouleversée par ce livre. Et à partir de là, j’ai commencé à lire tout Stephen King.

Pour moi, sa plus grande force d’écrivain, c’est ce que j’appellerai l’art de l’incise. Qui peuvent se traduire par exemple par des parenthèses, alors j’aimerai en citer une : une chose assez simple mais qui moi me touche, notamment dans SIMETIERRE : “A vous entendre, on croirait que vous avez déjà éprouvé cette sensation répondit-il. En réalité, jamais fit Crandall, en allumant une cigarette (la flemme de l’allumette jaillit brusquement et brilla avec une intensité particulière dans les ombres du jour déclinant).”

Ce sont des moments de pause en fait, des moments de suspend, pas de suspense, mais de suspend, des moments où la temporalité du suspense justement qui est extrêmement architecturée et très rythmée, s’arrête. Et, où il y a une sorte de silence qui se fait. 

LE FLEAU, pour moi, c’est son livre le plus effrayant. C’est une sorte de poursuite. Des personnages qui s’enfuient dans une voiture, qui essayent de franchir un état américain et qui sont poursuivis par la mort en réalité. En fait la menace est au sein de la voiture, elle n’est pas à l’extérieure. Elle est dans une sorte de virus qui va les contaminer les uns après les autres. 

C’est un des rares écrivains que je connaisse qui est capable de décrire une scène de petit déjeuner pendant 150 pages, mais ça peut être aussi sa faiblesse.”

 

 

MICHAEL CONNELLY

 

Au sujet de Stephen King, lors de la cérémonie de PEN America en 2018, où Stephen King recevait un prix littéraires :

“Depuis le prix du PEN American, où Stephen King est honoré pour le travail de sa vie et pour son soutien pour la liberté d’expression. Cet homme a défini des standard en tant qu’écrivain et donne bien plus qu’il ne reçoit. Il est le plus généreux auteur que je connaisse.”

 

 

 


 

Le livre des adaptations de Stephen King

 

LE LIVRE DES LIVRES DE STEPHEN KING

 

Pourquoi est ce que je mentionne ce livre dans cette page?
Puisque c’est l’idée même du livre : de nombreux auteurs commentent un livre de Stephen King.

Lorsque les plus grands noms des littératures de l’imaginaire redeviennent des lecteurs désireux de rendre hommage à leur écrivain préféré, cela donne Le Livre des livres de Stephen King.

 

Sean Williams, F. Paul Wilson, Ann Griffen, Douglas Winter, Diana Price, Garrett Peck, Edo van Belkom, Xavier Mauméjean, Mort Castle, Thomas F. Monteleone, Jean-Pierre Andrevon, Robert Devereaux, Patrick Marcel, Laurent Bourdier, Jess Kaan, Benoît Domis, Richard Nolane, Gisèle Foucher, Jean-Daniel Brèque, Stanley Wiater, John Weagly, Stephen Dedman, Bev Vincent, Stephen Jones, Shade Rupe, Mark Morris, Daniel Conrad, Michael Marshall Smith, Claude Mamier, Ian Watson, P.D. Cacek, Hugues Morin, Stephen Spignesi, Tim Lebbon, Nicholas Royle, Léa Sihlol, Brian Stableford, Claude Ecken, Emmanuelle Maia, Edward Bryant, Joel Lane, Lionel Davoust, Richard Gavin, Michael R. Collings, David B. Silva, Scott Nicholson, Guy Astic, Yannick Bourg, Roberta Lannes, Ken Rand, Steve Rasnic Tem, Kim Newman, Peter Crowther, Roland Ernould, Richard Harland, Ugo Bellagamba, Laurent Bourdier, Poppy Brite, Jack Ketchum….

 

… passent en revue l’intégralité des romans, recueils et meilleures novellas du Maître de Bangor. Indispensable pour les néophytes comme pour les connaisseurs, cet essai est une grande première qui fera date.
 

>>>> Page dédiée à : Le livre de des livres de Stephen King


 





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