Le film « La vie de Chuck », inspiré de Stephen King, n’est pas de l’horreur, mais embrasse l’humanité et la beauté de la vie

Dans une récente interview avec le site Collider, l’actrice Kate Siegel, collaboratrice de longue date de Mike Flanagan, s’est un peu exprimée sur le film « La vie de Chuck » (The Life of Chuck) inspiré de la novella de Stephen King, dévoilant qu’il ne s’agit pas d’un film d’horreur, mais d’un film embrassant l’humanité et la beauté de la vie.

L’adaptation en film, par Mike Flanagan, de la nouvelle « La vie de Chuck » (du recueil « Si ça saigne » de Stephen King), est dans la boite, le tournage étant fini depuis quelques semaines.

Le film est donc dorénavant en post-production, pour une sortie que l’on imagine en streaming sur Amazon Prime (étant donné que Mike Flanagan a signé un accord de plusieurs années avec la plateforme, quittant ainsi Netflix pour qui il avait produit et réalisé plusieurs productions, films et séries à succès).
On apprend aujourd’hui, via un article de Collider, que l’actrice Kate Siegel, collaboratrice depuis plusieurs années de Mike Flanagan, sur a peu près toutes ses séries mais ayant également tenu le rôle titre du film « Jessie », s’est un peu ouvert concernant le film « La vie de Chuck » (The Life of Chuck) :

« Je vais vous dire cela. C’est incroyable. C’est magnifique. Ce n’est pas un film d’horreur. » 
« Il y a une scène avec Chuck, dans la nouvelle, dans laquelle il y a une dance et après la dance, le narrateur, il me semble, dit ‘Ca. C’est la raison pour laquelle Dieu a créé le monde.’ Et je pense que les gens oublient (cela, ndt) dans ce cycle continue d’horreurs dans les actualités, avec les choses horribles qui se produisent, et écoutez, je ne crois pas en un dieu omniscient à  longue barbe qui a créé le monde. Je crois en la magie et en l’univers de manière que je ne peux pas comprendre, et je crois que c’est important quand on fait face à ces horribles crises humanitaires, ou les gens à la maison qui ne peuvent avoir accès à des soins, ou ce qu’il se passe avec nos banques, ou ce qu’il se passe avec les milliardaires et tout ce qui est dévoré vivant par l’avidité, il y a des moments où il faut être en mesure de regarder son quotidien et se dire ‘Ca. C’est pour quoi Dieu a créé le monde’, et c’est ce qui va rendre (la vie, ndt) acceptable. 
Donc je pense que Chuck va rendre la vie plus acceptable pour les gens »

Ces propos font un peu écho à ceux de Tom Hiddleston (l’acteur de la série « Loki ») qui tient le rôle titre du film « La vie de Chuck », et qui, il y a quelques semaines, comparait dans une interview à Screenrant, le film « La vie de Chuck » aux « Evadés » (The Shawshank Redemption) de Frank Darabont : 

« Ce que j’aime au sujet de cette histoire et celles qui le compose, est que semblait résonner avec le Stephen King qui a écrit ‘The Shawshank Redemption ». Il y a de la châleur et une sorte de bon esprit sur l’aspect de la vie dans l’histoire, et j’y ai vraiment connecté quand je l’ai lu. C’est véritablement le scénario le plus extraordinaire ».

On rappelle que la nouvelle « La vie de Chuck » de Stephen King, publiée dans le livre « Si ça saigne » est partagée en trois histoires distinctes mais raconte la biographie de Charkes Krantz, sous la forme d’une chronologie inversée, débutant par sa mort d’une tumeur au cerveau à l’âge de 39 ans, et finissant avec sa maison d’enfance dans une maison supposée hantée.

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