Un nouvel article du site Entertainment Weekly nous apprend que l’état d’esprit de Pennywise aura bien changé dans le second film. Il revient plus énervé et sauvage qu’il ne l’a jamais été.
Un nouvel article du site Entertainment Weekly nous apprend que l’état d’esprit de Pennywise aura bien changé dans le second film. Il revient plus énervé et sauvage qu’il ne l’a jamais été. L’acteur Bill Skarsgaard dévoile que les fans doivent s’attendre à une incarnation plus assoiffée de sang du clown dansant.
L’histoire du second film sera la continuation du premier film, avec les enfants (maintenant adultes) qui se rassemblent à Derry. Et Pennywise a changé durant les 27 dernières années. Selon l’acteur :
« Il s’est toujours comporté ainsi, donc cela ne change rien dans la mesure de son aspect visuel. Il ressemble à ce qu’il veut montrer à une victime à un instant particulier, mais je pense qu’il y a un changement. »
Grippe-sou se nourrit de la peur mais le Club des Ratés lui ont donné un aperçu de cette émotion lorsqu’ils l’ont brutalisé et forcé à battre en retraite.
« L’arc narratif du premier film est que, pour la première fois, il expérience lui même de la peur. Ses derniers propos, ‘Peur’ représente ce qu’il a vécu pour la première fois, et il est en quelque sorte choqué, perplexe et surpris. »
Grippe-sou riposte
C’est comme la brute, ou un parent abusif, ou une épouse brutalisée qui se prend un coup en retour. Cela peut sauver la victime à court terme, mais la prochaine attaque risque bien d’être un chatiment encore plus terrifiante. C’est l’état d’esprit de Pennywise quand il revient à la vie.
« Il a infligé de la peur à ses victimes, et il est très focalisé sur la peur, mais il ne l’a jamais vécu lui-même. Maintenant il a vécu ce qu’il a infligé aux autres et… c’est un changement qui mène au second film. »
Il fut un temps où c’était un jeu pour Pennywise, mais il ne se délecte plus seulement de la souffrance qu’il cause. Il veut se venger : « Il nourrite de la haine et de la colère envers les enfants, qui seront adultes dans ce film, donc je pense qu’il va être encore un Pennywise bien plus vicieux. Il ne se retient pas. »
Bill Skarsgard pense aussi que que « CA Chapitre 2 » montrera une version encore plus bizarre du monstre, poussant les limites de ses manipulations psychologiques. Jouant avec les choses les sordides imaginables.
« Il y a beaucoup à explorer. On peut le changer ou le rendre plus fou, mais il n’est pas limité à la continuité qu’un personnage normal aurait. On peut explorer son imprévisibilité, maintenant que nous avons mis en place les personnages pour le public. Nous pouvons toujours les choquer. »
Les choses qui l’ont le plus choqué? Les cauchemars qu’il avait après avoir interprété Grippe-sou la première fois.
Les visites cauchemardesques
« Après que nous ayons bouclé le tournage, j’étais dans ma ville natale de Suède, assis en ayant un café avec ma mère dans notre cuisine, et je me suis dit ‘Oh, merde, je n’ai plus besoin de continuer cette relation!’ C’était un rapidement soulagement, genre « Oh mon dieu, je suis soulagé de ne pas avoir à faire affaire avec la noirceur de ce perosnnage.’ Je l’ai comparé à un exorcisme : il sortait de mon corps et je me débarassais des toxines de Pennywise. »
Mais après avoir fait entré le clown de sa tête, Bill Skarsgaard s’est rendu compte qu’il était difficile de l’en faire sortir.
« J’étais à la maison, le film était fini, et je commençais à avoir d’étranges rêves vivaces de Pennywise. Chaque nuit, il venait et me rendait visite. »
Pennywise prenait différentes formes dans ses visions.
« La vision me trompait avec lui, comme si Pennywise était une entité différente de moi, et ensuite moi en tant que Pennywise dans des circonstances que je n’appréciais pas. Genre ‘Je suis Pennywise, je suis en colère d’être sorti en public et les gens me regardent. »
L’acteur est conscient qu’il y a une terrible interprétation à ces rêves, Stephen King a écrit un roman entier, « La part des ténèbres« , au sujet d’une création fictive qui prend vie et terrorise son créateur, mais Skarsgard pense qu’il s’agissait uniquement de son esprit qui graduellement se débaraissait du clown.
« C’était une méthode pour laisser sortir le monstre. C’était incroyable. C’est intimidant mais excitant de le revisiter à nouveau. »
Lorsqu’il était temps de retourner sous la forme du monstre, ils étaient déjà prêts, dans le monde des rêves.
« J’en ai fini avec lui », dit l’acteur. « Mais qui sait si Pennywise ne va pas encore me suivre à la maison? »
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