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La plume magique de Gwendy (Gwendy’s Magic Feather), de Richard Chizmar

Découvrez « La plume magique de Gwendy » (Gwendy’s Magic Feather ») : la suite du court roman « Gwendy et la boite à boutons », écrit par Stephen King et Richard Chizmar.

« La plume magique de Gwendy » est cette fois écrit uniquement par Richard Chizmar, mais Stephen King a néanmoins participé activement au livre, même s’il ne l’a pas écrit….  explications ci-dessous ! 

 

 

Gwendyetlaplumemagique Richardchizmar Stephenking Lelivredepoche 2021

 

 

> Notre article dédié à la version française : « La plume magique de Gwendy »

 

La plume magique de Gwendy

une suite de “Gwendy et la boite à boutons”
de Richard Chizmar
Edité par Stephen King, qui a aussi écrit une introduction 
Editions : Le Livre de Poche
Sortie : 10 février 2021
Pages : 330 en version originale

 

La description de l’éditeur :

A Washington D.C., Gwendy Peterson, désormais âgée de 37 ans, a mûri, depuis l’été où, jeune adolescente complexée, elle a reçu l’extraordinaire boîte à boutons qui a changé sa vie, de la part de Richard Farris, l’homme mystérieux au costume noir. Tandis que l’équipe du shérif Norris Ridgewick est à la recherche de deux fillettes disparues, la fameuse boîte réapparaît.

 

Pour commander “La plume magique de Gwendy” :
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Découvrir au sujet de « La plume magique de Gwendy » 

L’avis du Club Stephen King
Les easter eggs à l’univers de Stephen King
Interview de Richard Chizmar, l’auteur du livre

 

Les livres de la saga Gwendy :
Gwendy et la boite à boutons (livre #1)
– La plume magique de Gwendy (livre #2)
(Gwendy’s Final Task) : livre #3

 

 


Article au sujet de la sortie, en version originale :

 

 

 

Gwendys Magic Feather Stephenking Richardchizmar

Gwendys Magic Feather Stephenking Richardchizmar Cover

 

 

Annoncé le 1er mai 2019 après plusieurs jours de teasing sur Twitter, Richard Chizmar, ami de Stephen King, fondateur des éditions Cemetery Dance, et co-auteur de « Gwendy et la boite à boutons » a dévoilé avec Entertainment Weekly qu’une suite écrite par Richard Chizmar au livre « Gwendy et la boite à boutons« , allait voir le jour… avec la contribution de Stephen King pour une introduction, mais également en tant qu’éditeur du texte ! Et auteur d’une introduction.

Dans son introduction, Stephen King déclare :
« Dans l’histoire que vous vous apprêtez à lire (chanceux!), tous les formidables talents de Rich sont à l’oeuvre. Il évoque bien Castle Rock, et les femmes et hommes communs de la ville sonnent vrais. Nous connaissons ces gens et nous nous attachons à eux. Nous sommes aussi attachés à Gwendy. Pour dire la vérité, je suis en quelque sorte tombé amoureux d’elle, et je suis ravi qu’elle revienne. »

 

Ci-dessous une présentation du livre venant de sortir… mais bien entendu, ne continuez pas votre lecture si vous n’avez pas lu « Gwendy et la boite à boutons« , car le texte contient des spoilers sur le premier livre :

 

Lorsque des étrangers viennent à Castle Rock, ils apportent généralement des problèmes avec eux.

Et c’est ce que nous pouvons attendre de Richard Chizmar, qui s’aventure en solo dans la bourgarde jamais trop endormie de Castle Rock, dans une suite intitulée « Gwendy’s Magic Feather« .

L’auteur et éditeur avec Cemetery Dance s’étaient associés en 2017 avec la novella « Gwendy et la boite aux boutons » (Gwendy’s Button Box, en version originale), qui portait sur une fille de 12 ans qui reçoit un cadeau d’un étrange homme avecc un chapeau noir : une boite mystérieuse avec différents boutons, qui distribuent de la chance à ces utilisateurs, tout en déchainant des calamités ailleurs.

L’histoire se déroulait en 1974, quelques années après les perturbants événements se déroulant à Castle Rock, une ville qui se trouve dans les romans « Dead Zone« , « Cujo« , « La Part des Ténèbres » et « Bazaar« , et quelques 15 années après « Le corps », nouvelle de Stephen King publiée dans « Différentes Saisons » plus connue pour le film « Stand By Me » qui en fut tiré.

Quand Richard Chizmar a eu l’idée de rendre visite à Gwendy Peterson adulte, 25 ans après ses aventures du roman, Stephen King lui a donné l’autorisation de l’écrire seul.

Chizmar ne s’est pas contenté d’apporter son histoire à Castle Rock, mais il y a aussi inclus quelques personnages mémorables de Stephen King, tels que Norris Ridgewick, qui fut un temps un malchanceux adjoint au shérif du comté de Castle Rock, dans le roman « Bazaar« .

Bien que Stephen King n’ai pas directement écrit cette histoire, il a contribué sous la forme d’une introduction mais également sous la forme d’éditeur sur ce livre. Sinon, il l’a apprécié en tant que Fidèle Lecteur, pour une fois. « J’étais particulièrement curieux de rencontrer Gwendy adulte, et ravi du résultat. Je pense que les lecteurs le seront également », a déclaré Stephen King dans un communiqué. « Surtout lorsque la boite à boutons fait une mystérieuse réapparition. »

« Gwendy’s Magic Feather » sera publié en livre cartonné chez Cemetery Dance le 19 novembre prochain, et en livre audio chez Simon & Schuster audio. Les éditions de poche et ebook seront commercialisées l’année prochaine, en 2020, chez Simon & Schuster / Gallery Books.

 

Gwendys Magic Feather Stephenking Richardchizmar 2

 

 

« Gwendy’s Magic Feather »  (lit. « Gwendy et la plume magique »)
une suite de « Gwendy et la boite à boutons »
de Richard Chizmar
Edité par Stephen King, qui propose une introduction
Editions : Cemetery Dance (USA) / Hodder (UK)
Sortie : maintnant disponible en version originale
Pages : 330
Illustré par : Keith Minnion

 

> Sortie française prévue en février 2021, chez Le Livre de Poche

 

Présentation du livre « Gwendy’s Magic Feather » :

Quelque chose de diabolique s’est frayée dans la petite ville de Castle Rock, à l’aurée d’une tempête de neige. Le shérif Norris Ridgewick et son équipe sont désespéremment à la recherche de deux petites filles disparues, mais le temps presse pour les ramener vivantes.

A Washington DC, Gwendy Peterson, 37 ans, ne pourrait pas être plus différente que la jeune adolescente complexée qui passait son été à courrir pour monter les marches des suicidés. Ce même été, on lui confia, ou plutôt certains diront qu’elle fut maudite, avec l’extraordinaire boite à boutons de Richard Farris, le mystérieux homme au costume noir. La puissante et séductrice boite donnait à Gwendy de petits cadeaux en échange de son attention, jusqu’à ce que Farris revienne éventuellement la récupérer, promettant à Gwendy de ne plus jamais revoir la boite.

Pourtant, un jour, la boite réapparu, sans aucun avertissement, et sans Richard Farris pour lui expliquer pourquoi, ou ce qu’elle est censé en faire. La mystérieuse réapparition de la boite, couplée avec les étranges disparitions à Castle Rock, mène Gwendy à revenir à la maison… où elle pourrait bien être en mesure d’aider les filles disparues, et arrêter un fou à faire quelque chose d’épouvantable.

 

Si vous souhaitez commander le livre « Gwendy’s Magic Feather » :
> Sur Amazon
> Version dédicacée sur le site des éditions Cemetery Dance

 

Gwendys Magic Feather Stephenking Richardchizmar Cover

 

 


 

L’avis du Club Stephen King

 

Attention, spoilers si vous n’avez pas lu « Gwendy et la boite à boutons »

 


Personnellement, je ne m’attendais pas à retrouver Gwendy, la protagoniste du livre « Gwendy et la boite à boutons ». Je ne m’étais pas interrogé sur ce qu’elle allait devenir, mais je me suis bien entendu demandé ce qu’allait devenir la boite à boutons. Et bien entendu Richard Farris. Cet homme au chapeau noir aux initiales RF.

Similairement aux retrouvailles de Stephen King et du jeune Danny Torrance, devenu adulte, nous retrouvons dans ce court roman Gwendy, maintenant adulte. Et députée américaine.
Et soudainement, la boite à boutons réapparait.

Durant les fêtes de fin d’année, elle retourne dans sa ville natale de Castle Rock pour célébrer les fêtes avec ses parents.
Mais plusieurs petites filles ont disparues et le temps s’écoule, rendant la probabilité de les retrouver vivantes de plus en plus faibles…

 

« Gwendy’s Magic Feather » (lit : Gwendy et la plume magique) est relativement court. Il fait plus de 300 pages, soit le double du premier roman, mais les pages se lisent plutot bien et vites. L’histoire est intéressante, mais j’avoue avoir quand même été un petit peu déçu car j’ai eu un sentiment d’incomplet par certains aspects.
Mais ce n’est pas un point particulièrement négatif et ne gâche aucunement l’histoire.
Car l’histoire est plutot bien construite et se lit agréablement. Et au contraire, cela donne envie d’en savoir plus, si jamais une suite verra le jour… ce qu’a annoncé Richard Chizmar. Il veut écrire un troisième volume.

En complément, Richard Chizmar s’amuse a glisser subrepticement des easter eggs à l’univers de Stephen King, plus spécifiquement aux histoires se déroulant à / aux alentours de Castle Rock. Bien entendu car l’histoire s’y déroule. Et ces références sont glissés sans jamais en faire trop, et de manière tout à fait logique et légitime.

 

Sous couvert de fiction, Richard Chizmar n’hésites pas à partager son avis (négatif) sur le président américain actuel, le président Richard Hamlin. Ce n’est d’ailleurs pas une seule allusion sur le président américain, car il s’agit en réalité d’un thème sous-jacent et récurrent… agrémenté du fait que Gwendy, en tant que député, est régulièrement en réunion avec lui :
– Gwendy n’arrive pas à croire que Clinton a perdu face à cet idiot, et elle dit explicitement que « Le Président des Etats-Unis est un gros idiot » (p88)
– Le père de Gwendy semble apprécier le président, « il faut un leader » face au président nord coréen. Mais Gwendy souhaite lui dire la réalité, que le Président est un sexiste ennuyeux au regard baladeur. « Il se comporte plutot comme un enfant grognon qu’en leader en ce moment » (112-113).
– Gwendy considère que le président a le quotient intellectuel d’un navet, et le tempérament d’une brute de cour de récré (p187)
– Gwendy est tentée par la boite à boutons pour s’en prendre au président… et se dit que « Richard Hamlin est beaucoup de choses, majoritairement mauvaises, mais n’est pas Adolf Hitler. Pas encore, en tout cas. » (p217)

 

 

Les easter eggs à l’univers de Stephen King :

 

– Gwendy et la boite à bouton : le roman offert par Harold est « Gravity’s Rainbow », celui que Richard Farris lisait en haut des marches de Castle View (p85)
– Le point de vue de Castle Rock, le Castle View
Le sherif Norris Ridgewick qui a repris le poste d’Alan Pangborn, en 1991 (p119)
Le passé de Castle Rock : le grand feu de 1991 (Bazaar), Frank Dodd (le tueur de Dead Zone), le sherif Bannermann et le saint bernard enragé (Cujo), les marches du suicide (Gwendy et la boite a boutons) p121-122
Personnages : Le shériff Bannerman (Cujo) et Reginald (Pop) Merrill (Minuit 4, notamment) : p175
–  Villes : Mentions des villes de Portland et Bangor (vraie villes du Maine) et Derry (Ca) : p192
Le Corps / Stand By Me : Brigette Desjardins, nom de famille croisé dans la série « Castle Rock » et d’un des membres du gang de « Le Corps » / Stand By Me : p192
Dead Zone : Gwendy est tentée par la boite à boutons pour s’en prendre au président… et se dit que « Richard Hamlin est beaucoup de choses, majoritairement mauvaises, mais n’est pas Adolf Hitler. Pas encore, en tout cas. ». Comment ne pas penser à Dead Zone? : p 217
Dead Zone : Frank Dodd, l’étrangleur de Castle Rock : p263
Bazaar : le grand incendie de Castle Rock : p285
Dead Zone : dans une scène qui n’est pas sans rappelée Johnny Smith de Dead Zone, c’est en touchant la main d’une personne que Gwendy comprend que cette personne est le tueur des petites filles
Sac d’os : le Dark Score Lake, lieu où Mike Noonan possède une maison secondaire… et où Sara Tidwell…

 

 


 

Interview de Richard Chizmar, l’auteur du livre

 

Richard Chizmar, l’auteur de « The Long Way Home », un recueil de nouvelles, et de « A long december », ainsi que « The Girl on the Porch », un roman à venir, a discuté avec EW de ses incursions solitaires dans le monde de Stephen King.

 

Entertainment Weekly: Qu’est-ce qui vous a inspiré l’idée de la suite de Gwendy, 25 années après qu’elle ait obtenu pour la première fois la boite à boutons?
Richard Chizmar : Je présume que c’est en regardant les informations et voir qu’un certain nombre de nouvelles personnes aient été élues au congrès, avec beaucoup de femmes, beaucoup de jeunes, et ça m’est resté dans ma tête. Je me suis réveillé avec une vision précise de Gwendy et l’ai vu où elle était après toutes ces années.

Entertainment Weekly: Donc vous l’avez vu au pouvoir? Comment avez-vous présenté l’idée à Stephen King?
Richard Chizmar : Je ne l’ai pas présenté à Steve, je lui ai envoyé un email qui disait simplement « Hey, j’ai vu Gwendy après toutes ces années, et elle est devenue un membre du congrès, habite à DC, et la boite à boutons lui est réapparue ». C’est tout ce que je lui ai écrit. Et il m’a simplement répondu « C’est une bonne idée, vraiment sympas. »

Entertainment Weekly: Mais il ne voulait pas l’écrire lui même?
Richard Chizmar : Il m’a dit « Je vais passer pas mal de temps avec Holly Gibney (un des personnages de la trilogie « Mr Mercedes » et de « L’outsider« ), mais tu devrais l’écrire. »

Entertainment Weekly: A t’il fourni quelques idées et commentaires?
Richard Chizmar : Il s’est assis et l’a lu. Et ensuite, formidablement typique de Steve, il l’a généreusement édité pour moi. Il l’a parcouru, page par page. Et j’avais mon auteur préféré, le best-seller Stephen King, qui l’éditait.

Entertainment Weekly: Est-ce que c’était une expérience terrifiante, être édité par quelqu’un que l’on connait et que l’on admite?
Richard Chizmar : Il disait genre, « Voici ce que je fais avec mes propres manuscrits, donc ne t’inquiète pas. » Il m’a préparé à voir beaucoup d’encre. Et pour être honnête, je lui ai dis « C’est formidable. Je suis d’accord avec 95% de ces commentaires », et ce n’était pas vraiment beaucoup d’encre. J’ai eu bien plus d’encre sur mes manuscrits lorsque je les revisite moi-même. Mais à la seconde révision, je savais que Steve n’allait pas être nettoyer mon bazar. Je me suis réellement concentré.

Entertainment Weekly: Quel genre de notes vous a t’il donné?
Richard Chizmar : Beaucoup d’entres elles étaient très positives, et là encore, typique de Steve, beaucoup d’elles étaient amusantes. Quelques unes étaient mal fichues, mais très utiles.

Entertainment Weekly: La dernière fois que nous avons rencontré Gwendy, elle pensait qu’elle allait devenir écrivain.
Richard Chizmar : Comme le premier chapitre le dit, si quiconque avait demandé à Gwendy, 18 mois auparavant, qu’elle habiterait et travaillerai à DC, à servir le peuple américain et l’état du Maine, elle aurai répondu « No, vous êtes fou. » Mais c’est le chemin sur lequel la vie l’a mené. Elle bataille encore dans ce livre avec beaucoup de choses dans sa vie, et toutes les bonnes choses qui lui sont arrivées sont les siennes, et aussi sur le nombre de choses qui proviennent encore de la boite à boutons.

Entertainment Weekly: Cette boite à boutons aurait pu être une véritable source à démons. Le plus elle poussait les boutons, le plus d’horreurs s’abattaient sur le monde.
Richard Chizmar : Oui.

Entertainment Weekly: Est-ce donc la montrer comme quelqu’un qui a appris apprivoiser les responsabilités du pouvoir?
Richard Chizmar : Je le pense, oui. I think so, yes. (Stephen King et moi) en avions discuté avec le premier livre, du fait que peut-être la boite se trouvait dans les mains de la personne parfaite, parce qu’elle avait un bon fond, qu’elle a une bonne conscience, elle a l’innocence de la jeunesse, donc les tentations sont bien moindres que si elle avait été une adulte ayant grandi dans ce monde complexe, ce qu’elle est maintenant.

Entertainment Weekly: Pourquoi est-ce que la boite revient vers elle?
Richard Chizmar : C’est ce avec quoi elle lutte. « Pourquoi est-ce que la boite m’est revenue? Richard Ferris (l’homme au chapeau noir) m’avait dit que je ne la reverrai jamais. Donc pourquoi maintenant? »

Entertainment Weekly: Quoi d’autre devons-nous savoir de l’histoire?
Richard Chizmar : Elle débute à DC, en décembre, juste avant la pause de trois semaines du congrès, pour les vacances. C’est à ce moment que la boite à boutons apparait.

Entertainment Weekly: Depuis combien de temps est-elle au congrès?
Richard Chizmar : Gwendy y travaille depuis 11 mois, et y ai un peu aigrie. La réalité l’a frappé de plein fouet. Elle essaie de faire bouger les choses, essaye de garder l’attention du peuple, essaye de faire les choses bien. Elle se trouve donc dans une situation difficile, et certains de ses espoirs s’estompent. Puis la boite à bouton apparait, et au même moment, il y a le kidnapping d’une seconde fille à Castle Rock.

Entertainment Weekly: Et elle s’emmêle dans cette histoire?
Richard Chizmar : Elle rentre à la maison pour les trois semaines de vacances, et passe Noel et le réveillon de l’an à Castle Rock. Nous rencontrons à nouveau sa famille, et découvrons ce qu’elle a vécu les dernières quinze années. Et elle s’implique sur la disparition de ces filles. Une troisième fille disparait pendant qu’elle se trouve à Castle Rock, et elle s’implique complètement dans la résolution de ce qu’il se passe.

Entertainment Weekly: Cela se déroule environ une décennie après « Bazaar », on y retrouve Norris Ridgewick sur l’affaire, et il a été promu?
Richard Chizmar : Oui, Norris est de retour, ainsi qu’une poignée de gens de la ville. Il y a donc des discussions sur le passé sombre de la ville de Castle Rock, avec non seulement ce qui s’est roulé dans « Bazaar« , mais aussi l’étrangleur de « Dead Zone« , ce qu’a vécu le précédent shérif et certains habitants, Cujo

Entertainment Weekly: Comment a répondu King vis a vis de retrouver certains de ses personnages d’un point de vue extérieur?
Richard Chizmar : Je pensais qu’il allait me dire « Rich, c’est bien, mais pose le dans un tiroir quelque part, parce que je veux pas voir d’autres personnes écrire au sujet de ma ville. » Mais il l’a lu, et j’ai sauvegardé l’email pour mes enfants, mais il disait juste « C’était un délice de lire au sujet de mes gars de ma ville du point de vue de quelqu’un d’autre. »

 





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